Dans la vie, j'ai toujours été très gourmande au lit, j'aime ça et je m'assume, on ne vit qu'une fois. Mon mari m'a emmenée au libertinage, en fait ce qu'il voulait c'était se faire des nanas et que moi je regarde..... ou presque. Sauf que moi, si j'étais très gênée au début cela n'a pas duré. C'est en club libertin que j'ai découvert la pluralité et les mecs à la chaîne. Une fois que j'étais partie, il m'en fallait toujours plus, enfin d'autres...

Lui n'appréciait pas vraiment, lorsqu'il me traitait de "pute" cette expression me plaisait, c'était un jeu dans lequel je m'éclatais. Si pour moi le mot était au second degrés lorsque j'ai compris que pour lui cela ne l'était pas du tout ! ! !

J'ai pris conscience que pour lui j'étais une "pute" un soir, juste avant que nous partions en club lorsqu'il m'a dit : "essaye de ne pas trop faire la pute ce soir" avec un regard méchant. Il m'aurait donnée une gifle cela aurait eu le même effet. J'ai vu rouge et ma réponse ne lui a pas plus du tout.

"Si je n'avais pas une mauviette qui bande mou dans mon lit, je n'aurai pas besoin d'aller en club pour me satisfaire avec un mec qui sait se servir de sa queue".

Il n'a pas aimé ! La soirée au club fut gâchée et écourtée, nous ne nous sommes pas ennuyés pendant le trajet pour cause d'intenses discussions musclées faites de reproches et d'insultes. Si je ne suis pas quelqu'un d'agressif, il ne faut pas me brancher non plus. Monsieur avait décidé de continuer à aller au club sans moi, je l'ai prévenu que s'il faisait ça, à son retour ses affaires seraient devant la porte. La semaine suivant lorsqu'il est rentré du club à trois heures du matin, ses affaires étaient dans des sacs poubelle sur le palier et un ami était venu me changer les verrous.

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Restée seule pendant quelques temps par manque d'envie et pour cause de crise affective aigue, le sexe me manquait. Je dois à mon ex le mot "pute" qui, dans un contexte de jeu m'a toujours excitée tout comme les mots crus. De fils en aiguilles et de caresses en solo, ce mot me hantait. Je me voyais en train de faire des pipes ou de recevoir des hommes pour me faire baiser. Dans mes rêves les plus fous, ce n'étaient que des inconnus, qui venaient se servir de moi comme un vide couilles et le pire, c'est que cela m'excitait énormément. J'en arrivais à me caresser et à jouir en ne pensant qu'à ça.

Je me suis inscrite sur des sites libertins mais lorsque je racontais mon fantasme, certains me prenaient pour une véritable professionnelle, j'ai même été virée d'un site pour racolage. La haine ! C'est sur Fessestivites.com que j'ai rencontré un Maître libertin très ouvert, nous avons longuement discuté via le chat puis par email avant d'en arriver au téléphone.

Lors de nos discussions téléphoniques, sa voix posée et son côté autoritaire me rendaient aussi folle que ses propos. Au fur et à mesure, il a finit par se lâcher et oser mal me parler, très mal même mais cela faisait parti du jeu. S'il m'avait parlé ainsi la première fois, il ne m'aurait jamais rencontrée. Je suis donc devenue sa pute soumise.

Notre première rencontre fut une révélation pour moi, ce Maître a su jouer à merveille et me mettre dans la situation de mes fantasmes. Ci-dessous la copie des échanges préalables que nous avons eu le jour J, ou plutôt la fameuse première soirée :

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• Pas de champagne, pas de blabla inutile, j'arrive comme un client, je me sers comme un client très rustre se servirait d'une pute d'abattage et je repars. Quand j'arriverai chez moi, je t'appellerai pour que nous parlions de cette première rencontre. Par contre, si mon scénar ne te convient pas, dis-le moi de suite, car je ne suis pas quelqu'un irrespectueux. Nous pourrions en faire un plus zen.

• Ais-je le choix Monsieur ?

• Je vois que l'on s'est compris. Je te veux en bas, porte jarretelle et c'est tout à quatre pattes sur ton lit. Je veux aussi que tu mettes un bandeau sur tes yeux et que tu ne triches pas. Suis-je clair ?

• Oui Monsieur.

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Attendre à quatre pattes comme demandé m'a excitée comme une folle. Même si j'appréhendais un peu, je n'avais pas peur car cet homme avait toujours été respectueux, jamais pressé, il m'avait donné son téléphone et même son adresse pour me rassurer.

(Désolée je vais être un peu vulgaire)

Quand il est arrivé une heure pile après la conversation sur le chat, j'ai frémis de la tête aux pieds en entendant claquer la porte. Il s'est présenté comme mon nouveau Mac, le mec avec qui les grosses putes ont intérêt à marcher droit. D'entré de jeu il a fouillé mon sexe avec ses doigts pour voir si j'avais une bonne chatte sans oublier de commenter de façon assez grasse l'humidité ambiante qui y a trouvé. A la site de quoi, mes seins appelés "mamelles" pour la circonstance ont aussi été inspectés par mon "Mac". Ensuite, il m'a faite tourner sur moi même pour vérifier que j'avais une bonne bouche à pipe ou si j'allais avoir besoin de formation.

Tenue par les cheveux j'ai du l'engloutir en entier, son gland heurtant ma glotte m'a fait hoqueter ce qui m'a value une engueulade. Il avait mis un préservatif comme convenu signe de respect par contre question vocabulaire je n'ai pas été épargnée. En d'autres circonstances le mec aurait perdu un morceau de sa verge, là, au plus il était irrespectueux et graveleux au plus j'étais dans mon trip, dans cette folie des sens.

Je me suis faite "baiser comme une chienne" à quatre pattes avec encore une fois des commentaires par très élogieux mais si doux à mes oreilles que j'ai jouis en un rien de temps. Quand il m'a annoncé "J'ai payé pour les trois trous, j'en veux pour mon fric, écarte les fesses grosses truie" je me suis exécutée en plongeant la tête dans le dessus de lit. Par gentillesse il a lubrifié mon cratère totalement offert mais en me disant que mon "trou à merde" était trop serré, qu'il était trop gentil avec moi et devrait m'encul.... à sec. Il s'est servi de la ceinture de son pantalon pour m'empêcher de fuir et pour bien me tenir. Si au départ la pénétration n'a pas été brutale, la suite fut digne de la chevauché fantastique dans tous les sens du terme. J'ai tellement jouis que quand il s'est retiré je me suis effondrée sur le lit et lorsqu'il est parti, mes nerfs on lâché, j'ai pleuré comme une madeleine.

C'est le téléphone qui m'a réveillée, il venait aux nouvelles et semblait inquiet. Le gag est que j'ai du le rassurer en lui disant que je ne lui voulais pas du tout et même que je le remerciais pour cette soirée de folie qu'il venait de m'offrir. Mon Mac m'a demandé ce que je pensais de sa surprise, ..... Je n'ai pas compris le sens de ses propos au début. Il a du me demander d'aller dans ma cuisine où j'ai découvert une bouteille de champagne et une enveloppe contenant l'original de son test HIV. La bouteille de champagne serait ouverte la prochaine fois quand il reviendrait "relever les compteurs".

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Depuis cette torride soirée, mon Maître est un Mac sauvage et dur comme je les aime, mais aussi un homme charmant et attentionné que ce soit au lit ou dans la vie. Les grands soirs, il joue son rôle de Mac en accueillant les mecs qui viennent me baiser ou simplement se faire sucer. Une fois il m'a attachée mais je n'ai pas aimé, ce n'est pas mon truc. Il ne l'a jamais refait, le rôle de pute soumise est en moi, j'aime ça tout simplement.

La plus difficile des soirées fut un trio avec deux blacks choisis pour la taille de leur sexe. Si en anal je me suis éclatée à en inquiéter les voisins, côté vaginal j'ai un peu souffert, les "grosses bites" étaient trop longues pour ma pauvre foufoune.

Depuis maintenant six mois, je passe de femme de tête à "pute soumise" une fois par semaine et en "adorable petite chienne" lorsque nous ne sommes que tous les deux. D'ici quelques temps, je sais que je vais être offerte à dix ou quinze mecs dans un gang bang programmé par Organisations84. Non je n'ai pas peur, je fais des rêves érotiques fous.

Ecrivaillon